Deux agences régionales de santé ont demandé une expertise des eaux minérales françaises du groupe suisse qui a eu recours à des traitements de purification interdits. Un plan de « surveillance renforcé » est recommandé.
En janvier 2024, une première alerte avait révélé que le groupe Nestlé utilisait des traitements illicites de purification de ses eaux minérales (filtres à charbon, UV) ce qui est interdit par la réglementation pour pouvoir commercialiser des produits sous l’appellation "eau minérale naturelle".
Nestlé s’était défendu en assurant que "la sécurité sanitaire" de ses produits "a toujours été défendue".