Un procès s’ouvre ce mardi à Lyon à la suite du meurtre de Mohamed Abdelhadi en 2001 à Villefranche-sur-Saône.
Une affaire marquée par la perte d’une plainte qui aurait pu lever la prescription.
Le père du prévenu avait avoué le crime, mais seul son fils cadet, impliqué dans la dissimulation du corps, sera jugé pour recel de cadavre.
R.H