C’est un véritable soulagement que poussent ensemble patients et personnels d’hôpitaux privés et publics.
Cette cessation totale d’activité des hôpitaux privés à compter du 3 juin pour dénoncer, entre autres, l’arbitrage du gouvernement de ne revaloriser que de 0,3% les tarifs des actes de soins du privé contre 4,3% pour le public, aurait pu se traduire par une nouvelle tension des services des urgences des hôpitaux publics, qui on le rappel est déjà submergés.